Après avoir fais plusieurs pharmacies fermées, j’appelle et trouve celle-ci d’ouverte. Après une discussion avec la pharmacienne je comprends enfin l’étendue de cette grève du 30 mai et les causes. En tant que patients nous sommes forcément impactés que l’ont le veuillent ou non mais elle arrive réellement à me sensibiliser à leur cause puis par la suite changement radical. J’ai cru avoir à faire à deux personnes différentes. À la lecture de mon ordonnance elle m’explique de manière très autoritaire que malgré qu’elle soit renouvelable 5 fois le délai est trop court, j’essaye de lui expliquer qu’en effet, qu’elle peut voir sur mon historique qu’il y a eu une erreur sur la quantité délivrée par la pharmacie précédente qui aurait du être rectifiée mais également une erreur du médecin au niveau de la posologie, ma gynécologue peut l’attester au vu de ma maladie chronique et si il y a moyen de trouver une solution en l’appelant suite à quoi elle me répond « Et qui me dit que c’est votre médecin? Je ne la connais pas » Pardon? A ce moment la je ne pense qu’au deux dernières nuits blanches à me tordre de douleur et je sentais que la troisième se serait terminée au urgences pour une demande d’antidouleur. La pour le coup je me serais sentie honteuse d’accaparer des personnels soignants de l’hôpital pour cette raison donc j’insiste, je demande si c’est l’ordonnance qui pose problème car je dois sûrement en avoir une autre valable car cet antidouleur m’est souvent prescrit de façon renouvelable. Une nouvelle fois d’un ton condescendant « Peut importe l’ordonnance, peut importe la posologie, même si le médecin vous prescrit 10 boites je peut refusée de vous les délivrées si j’estime que cela relève du surdosage… » Alors en plus de me prendre de haut car certes n’ayant pas d’expertise médicale je sais tout de même qu’il y a un délai entre chaque prise, de ne pas associer plusieurs médicaments fin le minimum syndical. C’est aussi mon médecin traitant/gynécologue qu’elle prend de haut. Ma praticienne je pense et j’en suis même sur est mieux placée pour estimer un quelconque surdosage au vus de ses etudes, ses compétences et tout simplement son expérience. C’est la seule en droit d’attestée de la quantité, posologie nécessaires de traitements en lien avec ma pathologie tout simplement car elle a connaissance de mes antécédents et mon suivi médical. Ici, il s’agit clairement d’outrepassée ses droits en tant que pharmacien car à l’origine ma demande était légitime si j’avais était un minimum considérée et écoutée, la preuve en est que j’ai finis par avoir mon renouvellement ailleurs dans une pharmacie qui a pris le temps d’avoir le cabinet de mon médecin au téléphone pour davantage d’explications au sujets de mes prescriptions, demandées un accord etc. Une pharmacienne ayant simplement fait son travail. Lutter pour vos revendications en tant que pharmaciens est un droit et une cause qui ne rend pas pour autant légitime le fait de piétiner ceux d’autrui sous couverts de « responsabilité » et de « sécurité sociale ».